La Boxe Combat ne doit pas faire peur si les boxeurs bénéficient d'une préparation adéquate.
Certaines personnes attirées par la boxe anglaise ont peur de pratiquer ce sport parce qu'elles ignorent l'existence des formes de boxe non combat et qu'elles sont loin d'imaginer qu'en boxe combat il existe aussi des mesures de sécurité relative.
Nous avons publié récemment un article intitulé "La boxe anglaise, un sport à découvrir" dans "La Grande Epoque", édition française de "Epoch Times International". La version complète en est logée à l'url (vous pouvez cliquer) http://french.epochtimes.com/news/6-2-18/3605.html
La lecture de cet article aura peut-être modifié la vision que certains lecteurs se faisaient de la boxe anglaise. Au delà de la relative violence, du courage, de la force, de la grâce et de l'ingénuosité des boxeurs, il y a autre chose qui n'apparaît pas dans les compétitions de boxe présentées par la télévision. Le lecteur aura découvert que la boxe éducative assaut est normalement exempte de violence même en compétition et que la boxe loisir ne tolère les coups violents que s'ils sont administrés à la demande de qui veut les recevoir. Ici, nous informons les lecteurs qu'en boxe pré-combat, qui se trouve cette saison sportive en phase expérimentale, les coups violents sont portés en contrepartie du port par les boxeurs d'un matériel de protection (casque, gants) plus sécurisants que ceux portés en boxe éducative assaut. Mais en boxe combat (boxe olympique ou amateur et boxe professionnelle) où les coups violents sont soit pour la première tolérés et pour la seconde bien côtés, mais le matériel de protection pas aussi sécurisant que celui utilisé en boxe pré combat, n'existe-t-il pas un danger pour le pratiquant? Si tel est le cas, qu'est ce qui pourrait actuellement minimiser ou annuler le danger?
Nous affirmons que le danger existe mais qu'il peut être réduit au minimum par une préparation adéquate.
Pour ce faire, la Fédération Française de Boxe Anglaise ne permet pas de boxer comme professionnel à quiconque n'est pas détenteur d'un palmarès amateur d'une certaine valeur.
Le travail physique, le travail technique, le travail tactique et le travail psychologique présents dans les boxes non combat (éducative assaut, loisir et pré combat) font que ces formes de boxe constituent une excellente préparation avant d'aborder la boxe combat. Toutefois, il n'est pas interdit de solliciter sa toute première licence en boxe olympique.
Malheureusement, certaines personnes attirées par la boxe anglaise ont peur de pratiquer ce sport parce qu'elles ignorent l'existence des formes de boxe non combat et qu'elles sont loin d'imaginer qu'en boxe combat il existe aussi des mesures de sécurité relative. Ces personnes ont peur d'avoir mal. Elles ont peur de recevoir des coups violents qu'elles ne pourraient pas supporter ou qu'elles s'imaginent ne pas pouvoir supporter. C'est un phénomène psychologique auquel il est possible de faire face quand même l'élève aurait fait ses débuts directement en boxe combat (boxe olympique).
Un ouvrage sur la préparation des épreuves conduisant au Brevet d'Etat d'Educateur Sportif nous conseille de compenser un déficit observé chez l'élève dans l'une des quatre composantes (physique, technique, tactique ou psychologique) en augmentant le potentiel de ce dernier dans l'une des trois autres. Ainsi, entre les mains d'un enseignant compétent, l'élève régulier et discipliné mais peureux apprendra des gestes techniques présentant pour lui le moins d'insécurité possible tant lors de sa défense que lors de ses attaques. En fonction de la morphologie de l'élève et de ses aptitudes physiques du moment, l'enseignant lui fera adopter des attitudes de gestion de l'espace, du temps et de l'effort qui lui donneront le plus de chances d'échapper à la souffrance lors des attaques de l'adversaire auquel il aura affaire.
Il suffit donc, pour l'élève d'être régulier aux entraînements et displiné pendant les séances. Mais comment dénicher un enseignant compétent lorsqu'on n'est pas formateur d'enseignants de boxe anglaise ou qu'on n'a jamais suivi de formation permettant d'enseigner la boxe? Il faut alors se confier aux bons soins de la Fédération Française de Boxe Anglaise qui est chargée par l'Etat de développer et d'organiser ce sport. Cette fédération publie chaque saison sportive la liste des associations sportives qui lui sont affiliées et dans lesquelles il est attendu que les enseignants soient d'une compétence pour le moins acceptable.
Si le lecteur a senti ses craintes s'apaiser, pour localiser les associations sportives où il peut solliciter une licence fédérale, qui'il visite l'url (vous pouvez cliquer) http://ffboxe.com/pages/viefederale/oupratiquer.php
Soyez les Bienvenus!
André MUKALA NSENGU TSHIBANGU,
Instructeur Fédéral, Juge et Directeur d'Assaut.
Nous avons publié récemment un article intitulé "La boxe anglaise, un sport à découvrir" dans "La Grande Epoque", édition française de "Epoch Times International". La version complète en est logée à l'url (vous pouvez cliquer) http://french.epochtimes.com/news/6-2-18/3605.html
La lecture de cet article aura peut-être modifié la vision que certains lecteurs se faisaient de la boxe anglaise. Au delà de la relative violence, du courage, de la force, de la grâce et de l'ingénuosité des boxeurs, il y a autre chose qui n'apparaît pas dans les compétitions de boxe présentées par la télévision. Le lecteur aura découvert que la boxe éducative assaut est normalement exempte de violence même en compétition et que la boxe loisir ne tolère les coups violents que s'ils sont administrés à la demande de qui veut les recevoir. Ici, nous informons les lecteurs qu'en boxe pré-combat, qui se trouve cette saison sportive en phase expérimentale, les coups violents sont portés en contrepartie du port par les boxeurs d'un matériel de protection (casque, gants) plus sécurisants que ceux portés en boxe éducative assaut. Mais en boxe combat (boxe olympique ou amateur et boxe professionnelle) où les coups violents sont soit pour la première tolérés et pour la seconde bien côtés, mais le matériel de protection pas aussi sécurisant que celui utilisé en boxe pré combat, n'existe-t-il pas un danger pour le pratiquant? Si tel est le cas, qu'est ce qui pourrait actuellement minimiser ou annuler le danger?
Nous affirmons que le danger existe mais qu'il peut être réduit au minimum par une préparation adéquate.
Pour ce faire, la Fédération Française de Boxe Anglaise ne permet pas de boxer comme professionnel à quiconque n'est pas détenteur d'un palmarès amateur d'une certaine valeur.
Le travail physique, le travail technique, le travail tactique et le travail psychologique présents dans les boxes non combat (éducative assaut, loisir et pré combat) font que ces formes de boxe constituent une excellente préparation avant d'aborder la boxe combat. Toutefois, il n'est pas interdit de solliciter sa toute première licence en boxe olympique.
Malheureusement, certaines personnes attirées par la boxe anglaise ont peur de pratiquer ce sport parce qu'elles ignorent l'existence des formes de boxe non combat et qu'elles sont loin d'imaginer qu'en boxe combat il existe aussi des mesures de sécurité relative. Ces personnes ont peur d'avoir mal. Elles ont peur de recevoir des coups violents qu'elles ne pourraient pas supporter ou qu'elles s'imaginent ne pas pouvoir supporter. C'est un phénomène psychologique auquel il est possible de faire face quand même l'élève aurait fait ses débuts directement en boxe combat (boxe olympique).
Un ouvrage sur la préparation des épreuves conduisant au Brevet d'Etat d'Educateur Sportif nous conseille de compenser un déficit observé chez l'élève dans l'une des quatre composantes (physique, technique, tactique ou psychologique) en augmentant le potentiel de ce dernier dans l'une des trois autres. Ainsi, entre les mains d'un enseignant compétent, l'élève régulier et discipliné mais peureux apprendra des gestes techniques présentant pour lui le moins d'insécurité possible tant lors de sa défense que lors de ses attaques. En fonction de la morphologie de l'élève et de ses aptitudes physiques du moment, l'enseignant lui fera adopter des attitudes de gestion de l'espace, du temps et de l'effort qui lui donneront le plus de chances d'échapper à la souffrance lors des attaques de l'adversaire auquel il aura affaire.
Il suffit donc, pour l'élève d'être régulier aux entraînements et displiné pendant les séances. Mais comment dénicher un enseignant compétent lorsqu'on n'est pas formateur d'enseignants de boxe anglaise ou qu'on n'a jamais suivi de formation permettant d'enseigner la boxe? Il faut alors se confier aux bons soins de la Fédération Française de Boxe Anglaise qui est chargée par l'Etat de développer et d'organiser ce sport. Cette fédération publie chaque saison sportive la liste des associations sportives qui lui sont affiliées et dans lesquelles il est attendu que les enseignants soient d'une compétence pour le moins acceptable.
Si le lecteur a senti ses craintes s'apaiser, pour localiser les associations sportives où il peut solliciter une licence fédérale, qui'il visite l'url (vous pouvez cliquer) http://ffboxe.com/pages/viefederale/oupratiquer.php
Soyez les Bienvenus!
André MUKALA NSENGU TSHIBANGU,
Instructeur Fédéral, Juge et Directeur d'Assaut.
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